Concentrez-vous sur ces trois points. L’esprit, votre conscience, n’a pas le temps de s’échapper et de s’emparer d’autres objets parce qu’il est préoccupé par la conscience, ici même, de l’inspiration et de l’expiration.

Si vous parvenez à vous intégrer complètement à la pensée lorsque vous méditez, vous vivez une belle expérience.

Dès que l’esprit s’égare dans des souvenirs et des projets, ou bien dès qu’il est distrait par les images visuelles et les sons, vous continuez simplement à lâcher prise et à ramener l’attention au moment présent, revenant à la sensation des pieds sur le chemin.

Voyons comme il peut être agréable d’être simplement attentif, éveillé, vigilant. Totalement présent à cet instant.

Pensez à cette personne de tout votre cœur et envoyez-lui votre gratitude, c’est un merci avec le cœur…

Pensez à cette personne de tout votre cœur et envoyez-lui votre gratitude, c’est un merci avec le cœur…

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Cet article est paru dans Sagesses Bouddhistes n°23 (Automne 2022) Avec l’aimable autorisation de Mindworks

Méditation guidée avec Ajahn Tiradhammo.

Mingyour Rinpoché décrit la souffrance comme étant divisée en deux types : la souffrance « naturelle » et celle « créée par soi-même ».

La pratique doit être abordée avec cette attitude : ne faites pas attention à ce que l’on vous a enseigné.

Toutes ces expériences aident l’enfant à mieux connaître son corps, ce qui lui donne des repères physiques vécus de l’intérieur.

Cet enracinement nous permet de trouver notre élévation, notre verticalité. Notre tronc est droit, mais sans tensions inutiles.

Cette « contemplation » est présente dans le 5e module du programme Résilience. Elle peut aussi être menée chez soi.

Laissez ces pensées de bienveillance se propager même vers les gens que vous ne connaissez pas.

Tranquillement, ferme les yeux. Mets ton attention sur ton ventre et fais-le gonfler quand tu inspires et rentre-le en contractant [...]