Taiun Jean-Pierre Faure pratique le zen depuis plus de 50 ans. Il a reçu la transmission du Dharma de Dōnin Minamizawa Zenji, abbé du...

Le samu, pratique zen alliant méditation et tâches quotidiennes, cultive l’harmonie et inspire de nouvelles approches en entreprise.

C’est ce qu’en font les hommes qui rend le sport positif ou négatif ; de même pour la religion et tous les domaines de la vie.

La parole d’amour signifie avoir un cœur plein de tendresse et d’amour en regardant les êtres, et leur adresser une parole aimante et bienveillante.

Bénissez ceux qui vous entourent. Si vous bénissez ceux qui vous entourent, cela vous incitera à être attentif à chaque instant.

Ce n’est pas tant la douleur présente qui nous submerge, mais la conviction que cette douleur ne nous quittera jamais.

Ce n’est que vers trente-quatre, trente-cinq ans que j’ai vraiment compris l’amour de ma mère qui reflétait l’esprit du Bouddha.

Quiconque souhaite accéder à la nature de Bouddha n’a qu’un seul enseignement à suivre : celui de la grande compassion.

Que pensez-vous être est la véritable cause des guerres ? C’est l’attitude d’hostilité. À la base, ce n’est qu’une pensée.

Inutile de parler d’aimer et d’accepter les autres tant que l’on se rejette soi-même et que l’on continue de se faire souffrir, physiquement et mentalement

Ma conviction est qu’en cultivant notre potentiel altruiste, nous trouvons cette finesse, cette justesse dans l’action – avec toutes les difficultés de savoir si je suis dans l’ego ou pas, de savoir si je suis au service des autres ou si je suis au service de moi-même.

Si l’on ne voit pas la souffrance des êtres, on peut toujours ressentir de la compassion et de l’amour mais ces qualités sont limitées par nos jugements et conditionnées par les circonstances, alors que l’amour et la compassion d’un bodhisattva sont illimités.

Concentrez-vous sur ces trois points. L’esprit, votre conscience, n’a pas le temps de s’échapper et de s’emparer d’autres objets parce qu’il est préoccupé par la conscience, ici même, de l’inspiration et de l’expiration.

Il sera plus facile de cultiver l’amour bienveillant pour tous les êtres sensibles si nous comprenons qu’ils sont tous notre famille.

À Lhassa aujourd’hui, la mise au point automatique est quelque peu difficile. Les deux hémisphères de notre cerveau nous renvoient deux images du monde paradoxales et irréconciliables.

Si vous parvenez à vous intégrer complètement à la pensée lorsque vous méditez, vous vivez une belle expérience.

Nous devrions montrer au monde entier l’harmonie entre les religions comme elle peut exister en Inde, qui en est un exemple vivant.

Le mot sanskrit maitri veut dire bienveillance et amour. C’est la substance même des enseignements du Bouddha.

Présentement, notre esprit est indompté, incontrôlé. Si nous lui disons : « Concentre-toi ! », il n’obéit pas, et si nous lui ordonnons : « Ne pense pas ! », il pense encore plus.

La patience ne consiste pas à attendre que quelque chose arrive, mais à être pleinement présent à ce qui est. C’est une qualité de constance, une volonté d’habiter l’instant, même quand il est difficile.